Évidemment les entreprises qui étaient en opération pendant la pandémie se retrouvent aujourd'hui, dans une très grande majorité, soit fermées définitivement ou en difficultés financières. Ils sont un peu à la merci des gouvernements et des aides financières que ces derniers peuvent ou veulent leur accorder.
Les grands groupes hôteliers qui s'étaient forgés de solides situations financières, sont aujourd'hui dans une position stratégique très dominante. Conscients que les amateurs de tourisme international rongent présentement leurs freins dans l'entente d'un retour à une situation "normale", ils ont la capacité de préparer leurs sites actuels à une reprise qui risque d'être rapide et significative, en plus de profiter de la situation en agrandissant leurs offres par l’acquisition de sites dont les propriétaires non plus la capacité financière de supporter la situation.
La situation est également idéale pour les projets d'envergure qui sont travaillés maintenant et dont l'ouverture serait prévue en 2024. Ils arriveront sur un marché en effervescence sans le poids des pertes financières de la crise sanitaire. Ils pourront être plus agressifs dans les moyens employés pour rejoindre les clients potentiels versus ceux qui auront subi la débâcle financière de la COVID et seront sous haute surveillance de la part des actionnaires et banquiers.
Le retour des touristes en masse à partir de 2023.
" La reprise mondiale s’annonce rapide et significative"
"2024 devrait marquer l’entrée dans nos années folles, post-pandémiques."
Nicholas Christakis, épidémiologiste et sociologue de l’Université Yale
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